carrière

Concerts

ACCO0004
À Montréal, Chapelle historique du Bon-Pasteur, Maisons de la culture Notre-Dame-de-Grâce, Frontenac, Marie-Uguay et Pointe-aux-Trembles; au Stewart Hall à Pointe-Claire; Auditorium Montignac à Lac-Mégantic; Maison Lachaîne à Sainte-Thérèse; Musée des beaux-arts du Canada à Ottawa; Théâtre du Vieux-Terrebonne.
À Montréal, Maison de la culture Rivières-des Prairies et quatre concerts dans la série « Hors les murs » de la Maison de la culture Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension; Centre culturel de Drummondville; Centre culturel Saint-Antoine-sur-Richelieu; Stewart Hall à Pointe-Claire; Salle Anthony-Lessard à Saint-Jérôme.
À Québec, au Kiosque Edwin-Bélanger, au All-Canadian Jazz Festival Port Hope (Ontario), à la Chapelle historique du Bon-Pasteur à Montréal et au Centre Culturel Georges P.-Vanier à Châteauguay.
Concerts au Théâtre du Cuivre, Rouyn-Noranda, à la Salle Félix-Leclerc à Val-d’Or, au Théâtre des Eskers à Amos, à l’Église historique de Barachois au Nouveau-Brunswick, au Festival Indian River à l’Île-du-Prince-Édouard, à la Féerie musicale de Tremblant, au Théâtre Centennial de Lennoxville.
Concerts à la Maison de la culture de Gatineau, à l’Église de la Visitation de Ste-Foy, à l’Auditorium Montignac à Lac-Mégantic, aux maisons de la culture Plateau Mont-Royal et Notre-Dame-de-Grâce à Montréal, au Centre culturel de Pointe-Claire (Stewart Hall), aux Concerts de la Promenade à Saint-Eustache.
Concerts à Montréal au Café-théâtre de la Place des Arts, au Festival International de Jazz de Montréal, dans les maisons de la culture Marie-Uguay et Côte-des-Neiges et au Centre des arts de la scène Pauline-Julien. Également à Joliette, Mont-Tremblant, Longueuil, Drummondville, Ville LaSalle et Louiseville, aussi qu’au Westben Arts Festival Theatre en Ontario.
Prestation aux National Jazz Awards 2003, qui coïncidait avec l’IAJE (International Association of Jazz Educators). Plus de 7,000 participants en provenance de 35 pays. Gala diffusé à travers le Canada par CBC et SRC.
Tournée canadienne : concerts à Montréal aux Maisons de la culture Villeray/St-Michel/Parc Extension, Notre-Dame-de-Grâce et Mercier, et au Piano Nobile de la Place des Arts ; à Québec au Grand Théâtre de Québec et au Kiosque Edwin-Bélanger ; à l’Église Unie Emmanuel, à Cowansville, au Théâtre de Sept-Îles et au Théâtre de Baie-Comeau. Également au Markham Jazz Festival, en Ontario.
Concerts au Québec à Terrebonne, à Saint-Jean-sur-Richelieu, au Camp Musical du Saguenay–Lac-St-Jean, à Pointe-Claire, à Joliette, à Montréal, et également à Ottawa.

  • Tournée du Québec : Richmond, Lévis, Lac-Mégantic, Repentigny, Sainte-Adèle, Vaudreuil-Dorion, Val d’Or, North Hatley, LaSalle, Longueuil et Beloeil. Plusieurs concerts à Montréal.

  • À la Scène du Maurier du Festival international de jazz de Montréal.
  • Dans la série «Jazz d’ici» du Festival international de jazz de Montréal, au Théâtre du Nouveau Monde.

Tournées de l’est canadien dans plusieurs endroits dont: Québec, Lévis, Baie-Comeau, Rouyn, Îles de la madeleine, Ottawa, Valleyfield, Festival International de Jazz de Montréal.
Tournée américaine : Newport, Providence, Woonsocket, et New York (à l’église tricentenaire Trinity Church, 28ième édition de cette série de concerts).
Invitée à jouer au festival international «Jazz à Vienne», France. Invitée à donner le coup d’envoi, à la pinède Gould, de la 34e édition du Festival international de jazz d’Antibes-Juan-les-Pins, France. 
Festival international de jazz de l’Union européenne de radiodiffusion, jumelé cette année-là au festival «Umbria Jazz» à Perugia, Italie. Invitée par le directeur de la RAI, Adriano Mazoletti, à présenter deux concerts au festival «Jazz by the Sea» à Fano, Italie.
Première partie du concert de Dave Brubeck lors de la soirée gala des Ballets jazz de Montréal au Spectrum.
Plusieurs prestations au Festival International de Jazz de Montréal et celui d’Ottawa, ainsi que dans les salles suivantes : La Licorne, le Grand Théâtre de Québec, le Théâtre le Vieux Treuil, le Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts, la Bibliothèque nationale du Canada, le Musée des beaux-arts du Canada, le Palais Montcalm, le Musée de la civilisation à Québec, le Théâtre du Cuivre, Les Maisons de la culture, L’Atelier à l’Écart, La Maison du Citoyen, La Salle Rolland-Brunelle, La Salle Félix-Leclerc, L’Anglicane et le Pavillon des Arts.

Carrière

Formation

Diplômes

  • DÉS, Conservatoire de musique du Québec à Montréal
  • DÉC, Conservatoire de musique du Québec à Montréal
  • Perfectionnement : cours avec Mme Sonia Jelinkova (école Ivan Galamian)
Prix, Bourses et Reconnaissance du Milieu
  • 2007.«Les Plans de Barbara», Conseil des arts et des lettres du Québec.
  • 2003-2008. Nomination aux National Jazz Awards.
  • 2004. «Les Maîtres du feu», Conseil des arts et des lettres du Québec.
  • 2001. «Triptyque», Conseil des arts et des lettres du Québec.
  • 1998. «Infini Rendez-vous» sélectionné dans le Palmarès de la revue enRoute d’Air Canada, parmi les 24 meilleurs disques choisis par Jurgen Gothe, de la CBC.
  • 1998. «Mouvements d’une statue en liberté», Conseil des arts et des lettres du Québec.
  • 1995. «Bacagnole», Conseil des arts et des lettres du Québec.
  • 1994. Invitée à donner le coup d’envoi du 34ième Festival de Jazz d’Antibes-Juan-les-Pins, France.
  • 1994. Bourse Diffusion hors-Québec et «Allegoria», Conseil des arts et des lettres du Québec.
  • 1993. Choisie par la Chaine culturelle de Radio-Canada pour représenter le Canada au Festival international de jazz de l’UER tenu en Italie. 
    «Clair-Obscur», Conseil des arts et des lettres du Québec.
  • 1992. Nomination du disque Il y avait des pélicans à l’ADISQ dans la catégorie «meilleur album de jazz de l’année».
    Le disque Il y avait des pélicans» qualifié d’ «exceptionnel»  par Dave Brubeck.
  • 1990. «Miranda», Ministère de la culture du Québec.
  • 1988. Choisie «Découverte»  du Festival de Jazz d’Ottawa.
Cours de maître, ateliers et conférences

  • 2004-10. Chargée de cours (violon jazz) à l’Université de Montréal.
  • 2004. École Edinburgh à Côte-St-Luc.
  • 2002. A la salle de spectacles de Sept-Îles pour l’école de musique et à Baie-Comeau pour l’École de musique Côte-Nord.
  • 1996. Invitée à donner des ateliers dans un collège spécialisé en musique (pour les Cranston Schools), Rhode Island, É-U.

  • 1994. Au Théâtre de Baie-Comeau pour huit écoles primaires et secondaires de la région.

Commandes

Cinq thèmes pour La maison de la culture Marie-Uguay à l’occasion du dixième anniversaire de cette institution (deux des thèmes se retrouvent sur ses disques).

Une pièce commandée par le peintre Jean-Marc Blier et sert d’inspiration à l’écriture d’«Infini Rendez-vous».
Membre de jury

2004–2010. Université de Montréal, examens et auditions en violon jazz
2001. Conseil des arts et des lettres du Québec
           Gala du Griffon d’or
2000. Musicaction
Membre
SOCAN, SODRAC, ARTISTI, CONNECT Music Licensing
Collaborations
A collaboré avec les pianistes canadiens : John Sadowy, François Bourassa, Guy Dubuc, Jeff Johnston, Daniel Thouin, Bryn Roberts et Eric Harding.

Diffusion des oeuvres

(matériel original en formation violon-piano)

Disques

  • Volutes, 2010, Ars Musica 
  • Le jardin de nuit, 2003, Ars Musica
  • Infini Rendez-vous, 1997, Ars Musica
  • Il y avait des pélicans, 1992, Ars Musica
    Distribution numérique : Amplitude
    Vidéo-clips
    (diffusés notamment à Radio-Canada, TéléQuébec, Musimax, Musique Plus, Bravo!, TV5, ARTV, ainsi qu’en Europe et aux ÉUA).

    • «Cumulus», 2011, Ars Musica
    • «Rouge et bleu», 2005, Ars Musica
    • «Lumière dans la coulée», 1999, Soma Productions
    • «Infini Rendez-vous», 1997, Zara Films
    • «Vacances», 1993, Cinoque Films
    • «Il y avait des pélicans», 1992, Transfilmanie

    Ces vidéos-clips sont diffusés depuis l’automne 2003 sur plus de 60 canaux de télévision aux États-Unis par l’entremise de l’émission «Classic Arts Showcase».
    Radiophonique et Télévisuelle

    Les pièces tirées des quatre disques ont régulièrement été diffusées sur les ondes de Radio-Canada, Espace Musique, ICI Musique, CBC, PlanèteJazz, CJPX, 98.5FM et Radio Ville-Marie. Plusieurs concerts ont été enregistrés dans des séries dont «Jazz sur le vif»  et «Concerts d’été», tous deux à la SRC.

    • 2012. «Cumulus» est diffusé à Télé-Québec dans la série «Court-Métrage»
    • 2004–2010. Reportages à RDI, Télé-Québec et MusiMax.
    • 2005. «Rouge et bleu» est diffusé à Télé-Québec dans la série «Court-Métrage»

    • 2004. «Roc, vent, sel» est diffusée à la radio en Norvège.
    • 2003. «Roc, vent, sel» est diffusée à la radio en Suède.
    • 2002. «Vacances» est diffusée à la télévision de la République Tchèque.
    • 2000-2002. Un extrait de la pièce «Infini rendez-vous» est choisi comme thème d’ouverture de l’émission télévisuelle «Info Service», Société Radio-Canada. Et depuis octobre 2000 des extraits des trois disques sont utilisés comme musique de scène pour diverses émissions de télévision à la Société d’état.
    • 1993–1996. «Vacances» devient l’indicatif musical de l’émission culturelle radiophonique «Aux premières loges», diffusée par Radio-Canada à Québec.
    • 1994. Reportages et magazines télévisés : France 2, France 3, MCM, M6 Monaco (diffusion du concert à Antibes-Juan-les-Pins). Diffusion radio : Radio France, France Inter, France Inter Izère, Croque-Radio (Vienne), BBC Cardiff, Cannes Radio, Agora Cannes Radio, Radio Palace, RTHK Radio 3 (Hong Kong), Vermont Public Radio.

    • 1993. Diffusion du concert de Perugia sur les ondes de la RAI et des extraits sur les ondes des radios du Danemark (DR), de la Suède (AB), de la Belgique (BRTN), de l’Angleterre (BBC), de la Hongrie (MR), de l’Allemagne (HR), des Pays-Bas (NOS), de la Slovénie (RTV), de la radio autrichienne et de Radio France.

    Cinéma
    1998. Le cinéaste japonais Hiro Konishi, établi à Los Angeles, utilise des extraits de Il y avait des pélicans («Vacances», «Canicule», «Une salamandre» et «Gargouilles et chimères») et en fait la trame sonore du film Hanging Nowhere.

    Critiques

    « Difficile de définir le style: des compositions (…) incroyablement originales, avec des influences classiques, jazz et musiques du monde (…). Dans l’ensemble, la sonorité est atmosphérique, ardente et folk. » 
    – Jurgen Gothe, En Route (magazine d’Air Canada)
    « (...) un univers à la fois plein d’énergie et empreint d’un romantisme absolument... contemporain! Jazz fusion? Oui. Fusion du classique et du jazz serait peut-être plus précis, et c’est bien là que réside la force de Proulx. Les traits d’une compositeure solide, les lignes un peu folles d’une compositeure libre d’entraves académiques. C’est tantôt lyrique, souvent impressionniste, tout simplement beau. De l’inspiration et de l’intelligence. » 
    – Rachel Lussier, La Tribune, Sherbrooke
    « (...) la riche et séduisante matière de cette oeuvre au style jazz hybride tirant quelque peu sur le classique. Révélant un réel talent de compositrice...Cette musique a de l’âme. » 
    – Jacques Garcia, Paroles et musique, magazine de la SOCAN
    « La musicienne, qui signe tous les morceaux, s’exécute avec lyrisme, exploite avec finesse sa formation de violoniste classique. » 
    – Jean-Christophe Laurence, La Presse, Montréal
    « Cette étonnante violoniste a étudié au Conservatoire où elle est tombée amoureuse de la musique impressionniste. Plus tard, elle a eu le coup de foudre pour Stéphane Grappelli et son violon jazz. En mariant formation classique et musique jazz et en y ajoutant ses touches personnelles, elle a créé un style unique. »
    – Michelle Labrèche-Larouche, Châtelaine, Montréal
    « Elle nous était arrivée de l’univers du classique, empruntant sans doute aux grands compositeurs une beauté mélodique rare. [Selon Mireille Proulx, ‘C’est drôle, François Bourassa me disait justement qu’il avait l’impression qu’on jouait sans effort, en écoutant le deuxième disque.’] Sans effort et avec un bonheur évident… qu’on souhaite bien sûr contagieux, lors de sa halte montréalaise. » 
    – Patrick Marsolais, Voir, Montréal
    « Mireille Proulx, toute la passion du jazz. » 
    – Manon Gilbert, Le Journal de Montréal
    « (…) c’est la femme qui s’ajoute sans crier gare à la courte liste des violonistes compositeurs dans l’histoire de la musique et s’impose dans le monde du jazz. » 
    – Nora Ben Saâdoune, La Presse, Montréal
    « Il y avait des pélicans est riche en sentiments et hommages, d’où le charme fou de ce premier album. » 
    – Angèle Laubignat, Le Francophile, New York
    « La violoniste montréalaise voit sa carrière prendre un essor international impressionnant grâce à son approche musicale inédite, qui s’écarte des sentiers battus, en unissant uniquement le violon et le piano, créant ainsi une vibrante émotion… Sa grande maîtrise du violon teinte ses compositions de sons hybrides entre le jazz et le classique. Ses pièces sont influencées par Ravel, Debussy, Bill Evans et Dave Brubeck. Ce dernier est d’ailleurs tombé sous le charme de la musique de Proulx, qualifiant de ‘wonderful’ son premier album. » 
    – Pierre O. Nadeau, Journal de Québec
    « L’une des premières à fouler la scène des grands fut Mireille Proulx, avec son violon et son accent canadien savoureux (…) Avec Jeff Johnston, elle a bercé et enchanté la pinède. » 
    – Claude Dronsart, Nice Matin, Antibes-Juan-les-Pins (France)
    « Cette Canadienne a choisi une voie originale en adaptant à la musique improvisée une des plus belles formules instrumentales de la tradition européenne depuis Bach et Mozart : le duo violon piano. » 
    – Gérald Arnaud, 34e Festival de jazz Antibes-Juan-les-Pins, France
    « (…) Juan-les-Pins vous projette gracieusement dans ‘l’avant-gardisme futuro jazz maintenant’ avec les ‘brillantes’ du moment : Mireille Proulx (…) Elles sonnent nouvelle génération : la relève est assurée. » 
    – Daria Bonnin, Côte, la revue d’Azur, Menton, Monaco, Nice, Antibes-Juan-les-Pins, Cannes, Grasse
    « (…) on sent d’abord à l’écoute de Il y avait des pélicans, la solide formation classique de Mireille Proulx. Puis se dessinent à travers les notes, des influences plus précises : Debussy mais aussi les intonations contemporaines des Brubeck, Bill Evans et John Coltrane (…) » 
    – J. Sebastien Gagnon, La Presse, collaboration spéciale à Perugia (Italie)
    « Oubliez le spectaculaire, les décibels et la multiplication des notes. Mireille Proulx a beau donner dans le jazz fusion, son métissage n’emprunte rien au rock, mais tout au classique. C’est romantique, impressionniste, tendre et, plus important encore, extrêmement beau. » 
    – Patrick Marsolais, Voir, Montréal